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Malgré le progrès que le monde est entrain de se surpasser
en matière de droits de la femme, la femme Congolaise(célibataire ou mariée) continue à être victime de l'intolérence du sex
opposé. Quelque soit ses capacités morales,intellectuelles,religieuses et potentieles.
Les Douze types de violences
faites à jeune fille et femme Congolaise, ont été répretoriées par des enquêttes menées en Réublique Démocratique du Congo
par les experts de droits de l'homme, avec l'appui financier de l'UNICEF.
Publiées sous le thème "Femme,paix et droit
et droit à la succession" ces enquêttes citent les coups et blessures,viol,les propos injurieux,l'avortement forcé, la prostitution
et le no-payement de la dot.
Ces cas sont recensés comme violences parce que la legislation, notamment le Code pénal
et le Code de famille, en les instituant comme telles, établit en même temps, leur caractère socialement injuste et discriminatoire,
portant ainsi atteinte à la personne et aux droits de la femme.
Le refus de payer à la femme mariée travailleuse les
avantages sociaux, le harcèlement sexuel, l'imposition de l'autorisation maritale comme préalable à toute embauche et les
pratiques coutumières défavorable à la femme, constituent aussi des violences au regard de la convention sur l'élimination
de toutes les formes de discrimination à l'égard de la femme, font remarquer les auteurs enquêtes.
Selon le classement
établit par l'enquête, sept violences faites à la femme les plus courament observées sont, par ordre d'importance, * Les
propos injurieux (même en public) -53% * La prostitution -40% * Les coups et blessures -39% * La dot impayée -32%
* Les pratiques coutumières(la polygamie)-27% * Les Avortements forcés -23% * L'autorisation maritale -20% *
La négligeance ou le réfus de payer les frais scolaire aux jeunes filles -60% Le non-accès aux avantages sociaux pour
les femmes mariées travailleuses est cité par seulement 8,1% des personnes interrogées par les enquetteurs.
Ce taux
bas s'explique selon les enquettes, par le nombre généralement faible des femmes employées dans le secteur salarié. Voilà
le statistique pour l'emsemble de la République Démocratique du Congo (sans compter la partie occupée).
L'examen de
la situation dans les provinces indique qu'à Lubumbashi, province du Katanga, là où nous sommes basées, la violence la plus
courante demeure, Les coups et blessures -75% Des propos injirieux -69% La prostitution -47% Le taux d'analphabet
pour fille et femme 71%
À Matadi(Bas Congo),le non-paiement de la dot arrive en tête des formes violence avec
56 % Tandis que qu'à Mbandaka (Equateur) c'est la prostitution qui bat son plein avec 67%
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